La pluie de brouillard de connait plus le silence. Elle s'échauffe, s'étire et danse parmi le vacarme qui hante nos esprits. Chassant la pureté du silence. Lui, n'est plus rien qu'une illusion morte dans l'imaginaire du monde. L'univers s'est transformé en grand désordre désordonné. La vie s'élance à plein poumons, elle déploie ses grandes ailes multicolores pour apprécier la danse du bruit. Zizanie dans l'air. Le vacarme se fait trop grand pour transformer le silence en bouillie de mots. La vie se fait trop petite pour accueillir ce capharnaüm de ses grands bras ouverts. Ses bras sont trop petits, ils ne peuvent recevoir cette zizanie dans leur cœur. Confusion. Désastre. La Terre s'emballe, s'époumone de ses mots argentés, ces mots qui n'ont plus de sens dans ce fracas de désastre.
Explosion de colère. Brouhaha de mots. Ils ne savent que faire, eux, ces êtres de papier qui n'ont pas la force de rire de ce vacarme trop grand pour leurs petites lettres noires. Alors ils restent confusément immobilisés dans l'écorce de papier, ne sachant que faire pour arrêter cette cacophonie de bruit.
Explosion de colère. Brouhaha de mots. Ils ne savent que faire, eux, ces êtres de papier qui n'ont pas la force de rire de ce vacarme trop grand pour leurs petites lettres noires. Alors ils restent confusément immobilisés dans l'écorce de papier, ne sachant que faire pour arrêter cette cacophonie de bruit.
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