Quoi de plus beau de vivre dans un monde fait de choses transparentes ? L'Art, la musique, l'écriture, la littérature, le cinéma, la photographie sont là pour éclairer l'avenir, alors profitons en et vivons pleinement notre vie !

*Sauf mention contraire, les photos et les textes sont de moi, merci de respecter les droits d'auteur et de ne pas les voler.*

jeudi 30 juillet 2009

La victime avait des griffes

Nouvelle policière qu'on devait écrire en Français, le 12 Décembre 2009 (ça fait un bon de temps quand même) et dont j'ai eu... 20 sur 20 !!! Donc voici ma nouvelle policière, que j'ai intitulé "La victime avait des griffes" :

- Aaaaaaaaaaaaaah !!!!!
Le cadavre d'un homme d'une quarantaine d'années était étendu sur le sol le corps couvert d'un liquide rouge qui se dispersait. Le regard dans le vide, ses yeux blancs sans pupilles étaient sans vie. Sa bouche était grande ouverte laissant apparaître un mince filet de sang. Pas de doutes, il avait voulu crier.
Le cadavre se trouvait dans une chambre. Le plus étrange est que, sur les murs de la pièce, étaient étalés des énormes couches de peintures comme si on avait voulu la jeter précipitamment, puis, partir en courant. C'était sûrement ce que le meurtrier avait voulu faire. En tous les cas, la petite silhouette d'une femme corpulente qui avait poussé ce petit cri perçant en découvrant la scène se tenait dans l'encadrement de la pièce, la bouche largement ouverte, sans son, elle était paralysée de terreur. Son panier de linge propre s'était renversé par terre quand elle l'avait lâché. Ce devait être une femme de ménage. Quand le choc fut passé, elle se dirigea précipitamment vers le téléphone pour appeler la police et attendit tremblante de peur, que les policiers arrivent.
Quand la police arriva, la petite femme ronde parut rassurée.
- Bonjour madame. Ne vous inquiétez pas, tout va bien se passez. Je suis l'agent Nockman.
La petite femme acquiesça, encore toute tremblante. Puis, l'agent Nockman se dirigea vers la pièce, regarda le cadavre, et les murs couverts de peintures. Enfin, il se tourna vers la femme.
- Comment vous-appelez vous ?
- Euh... Je suis Clarisse Dommet. Je... Je suis femme de ménage dans cette maison... Je...
La petite femme sanglota soudain bruyamment.
- Oh non madame ! Ne pleurez pas ! Je sais que c'est horrible mais... S'il vous plaît madame ! Écoutez les questions que j'ai à vous poser tout de même !
La femme pleura de plus belle.
- Je... Je suis vraiment désolé mais dîtes-moi tout ce que vous savez sur la victime.
- C'était... C'était un homme bien. Il avait une femme et deux enfants.
- Sa femme où est elle ?
- Oh ! Je ne sais pas !
- Avez-vous son numéro de téléphone ?
- Oh, oui, oui. Je vous le donne.
La femme fouilla longuement dans sa poche pour en sortir un petit bout de papier où dessus, était écrit d'une écriture brouillonne un numéro de portable.
- Voilà le numéro...
L'agent Nockman se dirigea vers le téléphone et composa le numéro suivant : 06 05 73 25 20. Il prit le téléphone à son oreille et attendit jusqu'à ce qu'une voix de femme retentit au bout du fil.
- Allô ?
- Bonjour je suis l'agent Nockman.
- Mais... Attendez je ne comprend pas... qui êtes-vous ? Que se passe-t-il, dit elle.
- Madame, venez vite, il y a eu un accident !
- Quoi ! Je... J'arrive !
La personne au bout du fil raccrocha précipitamment ainsi que l'agent Nockman.
- C'est bon... Elle arrive. La victime avait-t-elle d'autre lien de parenté ?
- Oui... Oui bien sûr. Il avait une sœur. Claudia Morn. Elle... Elle pourrait peut-être vous aider à enquêter sur l'affaire, répondit la femme de ménage.
- D'accord, merci je vais l'appelez. Euh... Son numéro de tél ?
- Dans l'entrée, près du téléphone, il y a un petit carnet d'adresse. Regardez dedans.
L'agent Nockman se dirigea vers l'entrée, près du téléphone où il avait appelé. C'était une jolie petite maison perdu dans la campagne et quiconque rentrait dans cette maison était ébloui par cette entrée si mignonne, avec ses jolies petits cadres de couleurs accrochés aux murs.
L'agent Nockman se dirigea donc vers le téléphone, feuilleta le petit carnet d'adresse noir pour se retrouver dans les M où il trouva enfin ce qu'il voulait. En dessous de Clarisse Morn, un numéro de portable y était inscrit. Il pris le téléphone et tapa le numéro de Claudia Morn.
- Bonjour, l'agent Nockman à l'appareil.
- Mais que ce passe-t-il ?
- Mlle, il y a eu un accident chez votre frère.
- Oh mon dieu ! J'arrive tout de suite !
La femme raccrocha, et au même moment, quelqu'un sonna à la porte.
- Allez ouvrir s'il vous plaît Mlle Dommet.
La femme se dirigea vers la porte pour l'ouvrir. Devant elle, une femme d'une trentaine d'années se tenait devant la porte, elle tenait son enfant par la main et une jeune fille qui devait avoir quatorze ans était derrière elle. Tous avaient l'air extrêmement terrorisés, surtout la mère. C'était une grande femme aux cheveux blonds. En voyant sa femme de ménage pleurant à moitié, elle eut encore plus peur.
- Clarisse... Mon dieu mais que ce passe-t-il !
- Madame... je...
Clarisse éclata soudain en sanglots.
- Oh mon dieu ! Mais que s'est-t-il passé ?
L'agent Nockman, que la femme n'avait décidément pas remarqué prit la parole.
- Madame s'il vous plaît venez avec moi j'aimerais vous parlez seul à seul.
La femme abandonna ses enfants pour rejoindre le policier qui l'entraina à l'écart, loin du cadavre.
- Voilà madame, votre mari est décédé.
- Mon... Mon mari ?
La femme éclata soudain en sanglot.
Au même moment, Claudia Morn, la sœur de la victime apparut, inquiète et effrayé de voir deux femmes qui pleuraient à chaudes larmes. C'était une jeune femme d'une vingtaine d'années qui avait des cheveux court coupés en carré auburn. Une petite frange cachait son grand front. Elle avait de grands yeux bleus terrorisés et le beau sourire qu'elle gardait d'habitude avait disparut.
- Bill ! Qu'est ce qui s'est passé ! Bill a eu un accident ! Dites-le moi !
La fille de quatorze ans s'avança vers sa mère, gémissant, ne sachant pas se qui s'était passé. Elle avait des cheveux bruns et ses yeux marrons étaient remplis de terreur.
- Maman ! Maman que s'est-t-il passé ! Papa a eu un accident !!! réponds-moi Maman !!!
La femme était paniqué. Elle continuait de pleurer ne sachant pas quoi dire à sa fille.
- Alice...
- Maman !!
- Ton père est mort...
- ... Mais... C'est pas possible !!
- Calme toi Alice.
- Mais c'est pas vrai !! C'est pas possible !!
Alice était paniqué. Elle sentit une main chaleureuse sur son épaule. Elle se retourna et vit Claudia qui lui souriait d'un air réconfortant.
- Alice. Ne t'inquiète pas tout va bien se passer. Je suis là, calme toi.
Claudia aussi avait les yeux rouges.
- Veut-tu qu'on retrouve celui qui a assassiné Bill ?
- Non !!! Je ne veux pas de tout vos trucs stupides !! Je veux que Papa revienne !
- Alice... Tu sais bien que c'est impossible...
Sur ses mots, Alice courut dans sa chambre. Malheureusement, c'était celle où se trouvait le cadavre...
- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!!!
La mère d'Alice accourut aussitôt, tenant dans les bras son fils de 5 ans suivit de Claudia, Clarisse et de l'inspecteur.
- Oh mon dieu Alice !
Elle qui n'avait pas encore vu le cadavre, elle prit Alice dans ses bras et mit sa main devant les yeux de son fils, Alan, pour ne pas qu'il voit la scène.
- Oh la pauvre enfant ! S'écria Clarisse.
Claudia en profita pour prendre des photos de la victime bien qu'elle fut épouvanté par la scène car c'était son frère.
- Je ne veux pas vous interrompre, dit l'agent Nockman, mais j'aimerais vous questionner chacun individuellement. Mais avant tout, j'aimerais que tout l'entourage de Bill soit tous réuni ici. Bill connaissait-t-il d'autres personnes ?
- Il y a la voisine, Mlle Birn, Thibault, un collègue de Bill, la baby siter, Carole, qui garde Alan, Aurélie et Paul, des amis, mes parents, les parents de Bill. Je crois que c'est tout, énuméra la femme de la victime.
- Vous avez une voisine dans ce coin perdu ?
- Oui, bien que nous vivons en campagne, nous avons une voisine qui habite tout près. Il n'y a que nous et Mlle Birn ici.
- Bien, merci... ?
- Iris.
- Et bien je vais appeler tous ces gens alors.
L'agent Nockman se dirigea une troisième fois vers le téléphone et chercha les numéros des gens que Iris avaient nommé dans le carnet d'adresse.
Pendant ce temps, Claudia était près du cadavre à l'inspecter partout. Elle avait pris soin de mettre des gants pour ne pas laisser d'empreintes. Elle regarda de plus près et vit que le cou du cadavre était rouge et des traces de mains se dessinaient. C'était bien évident qu'on l'avait étranglé. Maintenant Claudia savait au moins une chose : la victime avait été étranglé...
Quelques minutes plus tard, les dix arrivants que l'agent Nockman avait appelés, étaient tous réunie près du cadavre, certains pleurant bruyamment, d'autres pleurant discrètement en essayant de se retenir.
- Bien, se réjouit l'agent Nockman, maintenant que vous êtes tous réunie en ce lieu, je vais vous interroger un par un. Qui veut commencer ? Vous Mme Dommet ?
- Mais... Mais voyons ! Vous n'allez pas me suspecter tout de même ! Je n'y suis pour rien ! Ce... Ce n'est pas moi qui...
- Et pourquoi ne serais-ce pas vous ? Répondez à mes questions, répondit l'agent.
- Mais... C'est un scandale ! C'est moi qui est découvert Bill !!!
- Taisez-vous ! Que faisiez vous avant de découvrir le cadavre ?
- Je me dirigeais vers la chambre d'Alice pour changer les draps quand... Quand je l'ai vu... Il était... Mort... Je... J'ai crié... J'ai failli m'évanouir... C'était horrible...
La femme sortit un long mouchoir en tissu de sa poche et se moucha bruyamment sous les regards gênés des occupants.
- Euh... Pouvez-vous être plus précise ?
- Quoi être plus précise ! Vous voulez que je vous raconte ma vie pendant que vous y êtes ?
- Euh... OK c'est bon du calme. Suivante !
Une femme d'une trentaine d'années au longs cheveux roux se dirigea vers l'inspecteur.
- Nom, prénom, âge, situation, dit l'agent.
- Je m'appelle Carole Bornok et je garde Alan, le fils de Bill. Je... J'ai trente-six ans et...
- Que faisiez vous quand Bill est mort et où étiez vous ?
- A 17h30 j'étais chez moi en train de jardiner. J'adore jardiner.
- Étiez vous seule ? N'y avait-il pas des témoins ?
- Non, à part un enfant que je gardais, j'étais seule. Je suis célibataire alors...
- OK, merci. Suivante. Vous madame ?
Une petite vieille qui devait avoir quatre-vingt ans s'avança en pleurant discrètement vers l'agent.
- Vous êtes la voisine de cette maison n'est-ce-pas ?
- Oui... Je... Je vis seule depuis plus de quarante ans avec mes trois chats, Mini, Tigrou et Mirette je...
Elle continuait de pleurnicher dans son petit mouchoir blanc et l'agent fut agacé.
- Que faisiez vous au moment du crime ? C'est-à-dire à 17h30 ?
- J'étais chez moi à m'occuper de mes trois chats chéris. Je les adooooore !!!
- Y avait-t-il des témoins ?
- Non. J'étais seule avec mes chats.
- Vous n'avez pas entendu de bruits suspects provenant de cette maison ?
- Oh ! Vous m'embêter avec vos questions ! Je n'ai rien entendu ! Laisser moi tranquille !
- Euh, dernière question. Aviez vous des bonnes relations avec vos voisins ?
- Moi ? Des bonnes relations ?! Vous rigolez ! Je ne l'avais jamais vu ce Bill auparavant ! Je faisais tout pour ne pas les voir EUX !
La petite femme continuait de pleurer mais l'agent Nockman savait maintenant que c'était de la simulation.
- Madame, un peu de respect s'il vous plaît, quelqu'un est mort ! Bon. Suivant !
Cette fois ci c'était un homme aux cheveux noirs d'une quarantaine d'années qui s'avança vers l'agent.
- Bonjour, nom, prénom, situation.
- Je suis Thibault Bobéni et je travaille à la banque où Bill travaillait. C'était mon collègue et... Je...
Thibault se mit soudain à pleurer.
- Je suis désolé mais... C'était un homme plein d'humour et...
- Bien. Quand Bill a été tué, où étiez vous ? Que faisiez vous à 17h30 ? demanda l'agent Nockman.
- J'étais à la banque, en train de travailler et bien sûr, Bill n'était pas là car il était malade...
- Y avait-t-il des témoins ?
- Oui, intervint la petite vieille. J'étais... Je suis allée à la banque pour retirer de l'argent...
- Et pourquoi ne l'aviez vous pas dit plus tôt ?! répliqua l'agent Nockman.
- Oh ! Je perd la mémoire ces temps ci... dit-elle
L'agent Nockman se retourna vers Claudia et lui chuchota à l'oreille.
- Cette vieille dame ne m'inspire pas confiance...
- Oui, à moi aussi je l'avoue... répondit Claudia.
La petit vieille se tenait sur une chaise, gêné et ne sachant pas comment se comporter.
Puis l'agent Nockman interrogea les personnes suivantes et Claudia en profita pour inspecter plus attentivement le cadavre de son frère. Elle le regarda de toutes part et les larmes commencèrent à venir. Elle n'avait jamais perdue d'être cher dans sa vie. Et là, c'était son frère. Quand elle aurait trouvé le coupable, elle allait pouvoir se venger. Oui, c'est cela qu'elle voulait à tout prix faire. Se venger de l'étrangleur de son frère. Mais avant tout, il fallait chercher des indices et au plus vite, sinon le coupable allait lui échapper. Au même moment où elle pensait à cela, ses yeux bleus humides de larmes se posèrent sur les mains de son frère. Elle les regarda plus attentivement et remarqua que du sang était incorporé dans les ongles de la main droite. C'était étrange. Qu'est ce que Bill avait voulu faire ? Griffer le coupable ? Cette pensée parcourue aussitôt l'esprit de Claudia. "Oui, c'est ça", se dit-elle. "Bill a griffé le coupable et il est dans cette pièce. On est en été et tous le monde est en tee-chirt. Sauf un. Oui, c'est lui".
Claudia savait maintenant qui était le coupable. Il n'y avait plus qu'à faire ce qu'il fallait faire. Elle allait pouvoir se venger...
- Euh... Agent Nockman ? dit-elle.
L'agent Nockman était en train de questionner un couple et il était très embêté qu'on lui coupe la parole.
- Puis-je vous parlez en privé ? demanda Claudia.
- Mais... Vous ne voyez pas que je suis occupé ?! Tout à l'heure ! s'emporta l'agent Nockman.
- Mais... C'est urgent !
- Bon, OK. Qu'est ce que vous voulez me dire ?
- Pas là. C'est trop risqué.
Claudia l'emmena dans une toute petite cuisine.
- J'ai trouvé qui était le coupable.
- Que... Quoi ! Vous êtes sûre ? s'étonna l'agent.
- Oui. Absolument sûre. Vous avez peut être remarqué que tout le monde ici est en tee-chirt sauf un.
- Et alors ?
- Et bien... Venez avec moi.
Claudia emmena l'agent sur la scène du crime.
- Regardez les ongles de Bill. Ils sont imbibés de sang n'est ce pas ?
- Oui, mais quel est le rapport ?
- Et bien c'est évident que Bill a griffé le meurtrier pour se défendre. De plus, Bill a été étranglé. Regarder les traces sur son cou.
- Tous ça est bien joli mais vous ne m'avez toujours pas dit qui était le coupable, s'écria l'agent.
-Vous ne devinez toujours pas ? Réfléchissez inspecteur. Qui a mis un tee-chirt à manches longues ?
- Mais oui c'est...
- Vous voyez Nockman. Cet homme a mis un tee-chirt à manches longues pour cacher sa griffure.
- Mais oui, bien sûr ! Claudia vous avez tout à fait raison ! Vous êtes un génie !
- Hi, hi, merci ! Mais je veux être sûre que c'est lui.
Claudia se dirigea vers l'homme qu'elle soupçonnait d'avoir tué Bill.
- Bonjour. Vous n'avez pas trop chaud habillé comme vous êtes ? Moi, je meurs de chaud. dit-elle.
- Euh... Je suis très frileux.
- Mais c'est la canicule ! Vous êtes malade peut être.
- Euh... Oui, je crois.
L'homme fit soudain semblant de tousser.
"Il est rusé" se dit Claudia.
- Euh... Moi je crois que quand on est malade et qu'il fait cette chaleur, il faut se découvrir. Je vous conseille de suivre mon conseil, il sont souvent très bons. Regardez, je suis en tee-chirt, avertit Claudia.
- Mmmh... Vous avez raison mais je préfère rester comme ça.
- Pourquoi donc ? demanda-t-elle.
- Je vous l'ai déjà dit, je suis frileux.
- Par cette chaleur ?
- Mmmh... Oui.
- Oh ! Comme c'est beau ! s'écria Claudia. Levez les bras vous pouvez l'attraper !
Sans trop y réfléchir, l'homme sauta pour regarder la chose inexistante et comme un imbécile, il leva les bras. Par chance, les manches de son tee-chirt tombèrent et Claudia put voir ce qu'elle avait tant attendu : cet homme avait effectivement des griffures sur le bras gauche.
"Bien", se dit Claudia. "Maintenant je vais annoncer cela aux autres personnes."
Elle se dirigea au devant de la minuscule foule de treize personnes et commença à parler.
- Il y a une personne, une unique personne parmi vous qui a assassiné Bill. Cette personne m'écoute en ce moment. Je veux que vous m'écoutiez tous attentivement. Cette personne n'est rien d'autre que...
A présent, tout le monde s'était tu dans la salle. Un immense suspense y régnait et on aurait dit que le monde s'était arrêté là.
- Cette personne qui a étranglé Bill porte les griffures que celui-ci à faites...
Maintenant, le coupable était devenue livide.
- Cette personne aux cheveux noirs n'est rien d'autre que... Thibault Bobéni ! Oui Thibault. C'est vous qui avez tué Bill n'est-ce-pas ?
- Mais... Mais... Mais c'est du pure mensonge ! Je ne l'ai pas tué ! J'étais à la banque ! Il y avait même un témoin !
- C'est ça, bien sûre ! Vous aviez peut être un témoin mais elle jouait la comédie ! N'est-ce-pas Mlle Birn ? répliqua Claudia.
La petite vieille ne répondit pas.
- Vous deux, vous êtes en état d'arrestation, dit l'agent Nockman. Vous M. Bobéni pour avoir assassiné M. Morn. Quand à vous Mlle Birn, vous avez fait un faux témoignage alors vous aussi vous allez en prison.
- Thibault, pourquoi avoir tué Bill ? demanda Claudia.
- Je... Je... Comme je suis célibataire je... Je voulais avoir une femme et... J'aimais Iris en secret. Je...
Iris avait tout entendue. Elle se dirigea vers Thibault et le gifla comme jamais elle ne l'avait fait.
- Abruti ! Je n'épouserais jamais un homme qui a tué mon mari, se fâcha-t-elle. C'est clair ! Fichez le camp et je suis bien contente d'apprendre que vous allez aller en prison !!!
L'agent Nockman mit les menottes à Thibault et Mlle Birn et tous les trois disparurent ainsi que les autres personnes qui se trouvaient présente.

Clarisse, la femme de ménage ne pleurait plus, mais elle se dit que elle qui avait été la maîtresse de Bill, c'était bien mieux comme ça.

FIN

vendredi 24 juillet 2009

Espagne

Et voilà... Je suis rentré d'Espagne à 1h39 du matin très exactement...

... Nous montons dans l'avion. Nous nous attachons. Celui-ci commence à rouler peu après tout doucement... Tout doucement... Puis il tourne, et s'arrête. Et prend son élan, il va de plus en plus vite, de plus en plus vite, de plus en plus vite.... jusqu'à s'envoler dans les airs... et là, on sens qu'on quitte le sol, avec cette étrange sensation que son cœur se soulève et va s'envoler. Vous voyez ?
L'avion s'élève dans les airs, descend, montre, mon cœur se soulève, j'ai l'impression que je vais tomber dans le vide pendant 1 seconde seulement, il monte, se stable... Nous pouvons alors enlever notre ceinture. Je regarde par le hublot le paysage vue d'en haut. Des champs, des minuscules points regroupés... et c'est là qu'on se rend compte qu'on est vraiment minuscule... c'est comme sur Google Earth... l'avion monte alors au dessus des nuages et on ne voit plus le sol. Une mer de nuage avec le ciel au dessus... On se croirait on paradis^^ C'est beau...

On attache nos ceintures, l'avion descend du ciel pour atterrir enfin, avec un léger choc. Une musique genre "on a marché sur la lune" apparait alors et une voix off "Welcome". Certains applaudissent alors comme des tarés...

On est arrivés...

On prend alors un deuxième avion...
A peu près même version..

Je sens alors la chaleur étouffante du dehors quand on descend de l'avion, avec cette magnifique odeur de jasmin, d'oliviers, d'orangers, l'odeur de l'Espagne, quoi !

Ma grand-mère vient nous chercher en voiture. Dehors, c'est la nuit.
Nous rentrons dans la maison de mes grands-parents, avec piscine et tout...

On passe quatre jours chez mes grands-parents...

9 Juillet, jour de mon anniversaire :

Je me réveille le matin vers 10, 11 h et je rejoins toute la petite famille autour d'une table en train de prendre leur petit déjeuner.

Ma grand-mère va chercher mes cadeaux aussi que ma mère.

Je reçois quatre livres de ma mère : La parole de Fergus de Siobhan Dowd, Déchainé de Ally Kennen, Ce que j'étais de Meg Rosoff et Le temps des miracles de Anne-Laure Bondoux. J'ai aussi eu un sac et de l'argent de mes grand-parents...

Ma grand-mère fait un gâteau raté qu'on oublie de manger, et le soir pour mon anniversaire, nous allons manger dans un restaurant de poisson...
Serré à six dans une petite voiture, ce qui me fait penser à la chanson de Bénabar...
Moi sur les genoux de mon beau-père, je lui broie les cuisses^^

Nous nous empiffrons de poissons grillé de toutes sortes... Mmmh...
L'estomac bien rempli, nous voulons aller chez Churros con chocolate, un café ou on y mange du chocolat super bon !!
Malheureusement, il est trop tard, c'est fermé...
Pas grave, nous rentrons à la maison, il fait nuit noir, serré comme des sardines dans la voiture, je suis toute joyeuse, ce n'est pas tous les jours qu'on fête ses 14 ans !
Comme dessert, nous mangeons alors le gâteau qu'on a oublié de manger... Un marbré qui s'est écroulé sur les bords, je souffle mes 14 bougies avant minuit, et je vais me coucher...

Quelques jours plus tard, nous louons une voiture pour l'Andalousie...

En Andalousie, le paysage est magnifique : Des oliviers à pertes de vue, sur des montagnes, tel des champs de vignes.

L'Andalousie est la région des oliviers...

D'après eux, ils font la meilleure huile d'olive DU MONDE !

Nous avons loué une grande maison avec une piscine.

Il fait une chaleur...

Je me suis quand même ennuyé, malgré ma lecture, mes baignades dans la piscine, ma musique...

Voilà !

lundi 6 juillet 2009

Le départ

Et voilà, nous sommes prêt pour partir en Espagne pendant 3 semaines, les valises préparés, le ménage fait...
Vers 15 h nous allons prendre l'avion pour partir en Espagne...
Vous n'allez pas me voir pendant 3 semaines donc, je rentre le 23 juillet. Voilà, voilà, je vous raconterait tout à mon retour...

BONNE VACANCES !!

jeudi 2 juillet 2009

Le ciel

Un jour au loin,
Un oiseau.
Ou un avion peut-être.
D'aussi loin qu'on le voit,
Le ciel n'est pas le même.
Oiseau, avion,
Nul ne sait.
Le ciel est un océan d'inconnu face à l'univers,
Un océan d'infini,
Que nul ne connait.