Quoi de plus beau de vivre dans un monde fait de choses transparentes ? L'Art, la musique, l'écriture, la littérature, le cinéma, la photographie sont là pour éclairer l'avenir, alors profitons en et vivons pleinement notre vie !

*Sauf mention contraire, les photos et les textes sont de moi, merci de respecter les droits d'auteur et de ne pas les voler.*

mercredi 20 avril 2011

Aurore sans nom


Rien qu'une ficelle. Une ficelle, et la petite fille apparait dans la lumière. Une lumière qui grandit, somptueuse comme le jour. Une fenêtre. Une ouverture sur le monde. La petite fille s'étend de tout son long par la fenêtre de verre. Elle imagine le monde qui la regarde de ses yeux clairs et lumineux, lumineux comme cette lumière qui rivalise avec la Terre. L'aurore se lève et la fillette contemple le spectacle de rêve, le rêve qui hante les enfants de sept ans, car oui, la petite fille a toutes ses dents, et sept étoiles l'habitent au plus profond d'elle. Elle se fixe, s'admire dans le miroir de la vie, avant de s'apercevoir que la lumière qui la regarde n'est rien d'autre que son reflet dans le miroir. Elle est l'aurore. Peut-être n'est-t-elle tout simplement qu'une clarté orange qui s'élève dans les airs.

samedi 16 avril 2011

Bleu du soir

jeudi 14 avril 2011

Un petit bout de printemps


Un bout de chou et une fleur sur le sommet de l'innocence.

vendredi 8 avril 2011

Des petits riens qui forment des choses et de l'ennuie. C'est pour ça que j'écris.

(Les Fatals Picards : Cosane54)

Description du dernier concert des Fatals Picards que je ne vais pas voir, et que j'aurais tant aimé voir. Mon frère est crevé semble-t-il pour aller à un groupe de rock français qui vaut vraiment le coup d'être vu en live grâce à l'immense humour qu'ils possèdent. Ce concert aurait été une bonne partie de rigolade, il n'est plus rien qu'un fantasme et un rêve, un souvenir imaginaire qui n'aura pas lieu, sans doute, car j'espère une toute dernière fois d'aller à ce gigantesque concert qui a lieu demain soir.

Pour tout vous dire, je ne suis jamais allé à un concert. Les Fatals Picards auraient peut-être été mon seul espoir et la première vision que j'aurais eu d'un concert, sans doute hors du commun. J'image mes pas me conduisant vers cet immense espace grouillant de monde, telle une petite fourmis devant les artistes, les stars, les dieux de l'humour, face aux Fatals Picards, flambant neuf qui déversent leur humour sur le public qui crie, qui rigole, des petites flammes voletant aux dessus des têtes, dans le noir illuminant la scène. J'imagine mon excitation face à ces dieux du rock français qui ne se prennent pas au sérieux, mes rires qui accompagnent ceux des autres, ma bouche qui s'ouvre à gorge déployé découvrant mes dents sans appareil.
Et la chaleur de la salle, serrés comme des sardines les uns aux autres, criants, jubilant.

Mais tout ça n'existe pas, tout ça n'est que imaginaire.

(Les Fatals Picards : flickr.com)

Mes Ray Ban m'attendent avec impatience, ou c'est plutôt moi qui les attend. J'ai tellement hâte de les recevoir, mercredi, lunettes de vue à grosses montures noires, des Ray Ban. Et puis en lunettes de soleil, les mêmes. Je vais ressembler cette fois à Camélia Gordana en moins classe. Bref.
Il y a fort longtemps que je n'ai pas raconté ma vie sur ce blog. Enfin, pourquoi intéresserait-elle des inconnus, ma vie ?
Il fait chaud dehors. Je m'ennuie, et le chant des oiseaux adoucissent mes oreilles. Peut-être vais-je aller dehors prendre des photos, en ville où la gaieté y règne. Je m'ennuie. J'attends avec impatience d'aller voir Rango au cinéma, une idée de mon frère, le grand, j'ai finalement cédé pour ce film malgré mon envie de voir autre chose. Mais il parait qu'il est très drôle comme film, mon magasine de cinéma préféré y a même mis une très bonne critique et un coup de cœur, c'est pour dire ! Enfin, vous pourrez lire ma critique sur mon autre blog quand j'aurais fini de voir le film.

(The Company Men : Le Blog de Marvelll)

Et bien non, je ne suis pas allé voir Rango. Pas de critique donc, mais une sur The Company Men, car oui, il a cédé. Mon cher frère à cédé pour ce film, j'ai rien dit pourtant, je lui ai juste fait remarquer que j'aimerais bien aller voir The Company Men et que c'est un film qui a l'air vraiment bien. Et puis il a cédé. Sur la petite machine automatique pour prendre nos tickets, nouvelle technologie et nouveau truc pour jouer les autistes, il a hésité, m'a interrogé, à pris deux tickets pour The Company Men. "S'il est pas bien ton film je vais t'en faire baver !". On est donc rentré dans la salle de cinéma nos tickets en poche et nous avons savouré ce film, ce film que mon frère a trouvé super, enfin, c'est évident, il aime ce genre de film ! Pas de critique ici, les critiques c'est sur mon autre blog, quoi qu'il me faut du temps généralement pour faire une critique, il me faut réfléchir, et là, aucune inspiration me vient pour parler de The Company Men. Il faudra attendre pour la critique, peut-être longtemps, peut-être pas.

A la place des Fatals Picards, mon père m'a emmener dans un café-concert où des petits groupes inconnus exposaient leur talent. C'était pas mal, mais ça ne valait pas les Fatals Picards bien sûr ! :) Mais j'y retournerais au café-concert, c'est pas mal du tout et comme c'est une toute petite salle, on voit bien les artistes. Du rock à fond dans les oreilles, que c'est bon !

mardi 5 avril 2011

Marcher à la nuit tombée

Par la porte