Juste un rien dans cet univers terrestre. La petite fille regarde la vie de ses yeux clairs et lumineux, en se demandant pourquoi, pourquoi le destin l'a mise ici, dans cette vie bien trop grande pour sa petite taille de guêpe. La petite fille regarde, les alentours ne font pas de bruit : le silence du dehors chuchote comme la nuit, tel un bourdonnement d'abeille quand la vie montre encore ses jolis pieds colorés. La petite fille regarde le dehors, l'immense espace de terre qui s'étend devant elle, ses grands yeux colorés, trop grand ouvert sur un monde qu'elle ne devrait pas connaître. Ses yeux s’illuminent, s'étirent et s'élancent dans un univers humide et friable rempli de découverte, telle une minuscule aventurière de cinq ans, découvrant un monde inépuisable de curiosité. Sa petite robe cerise volette dans l'atmosphère qui l'entoure, et la fillette ne cesse de contempler le dehors du monde.
- Suzie !!!
La fillette ne bouge pas, plongé dans ses rêves qui flottent en bulles d'airs dans sa tête remplie de rêves d'enfants.
Tu risques de souffrir petite fille, quand tu vas t’apercevoir que l'enfance, ce n'est pas pour toujours, que l'innocence est friable et qu'il faut avoir la tête dure si on veut devenir grand, plus tard, comme tes parents.
J'aimerais sortir ses mots de ma bouche fermée à clé, mais mes mains restent fixées sur la feuille de papier brunie par les âges.
Une grande dame se penche vers la petite fille, elle déploie son inquiétude sur l'innocent petit bout de fleur, possédant des yeux trop grand pour une si belle petite rose.
Pendant qu'elle se retourne du paysage illuminant, les rêves de la fillette s'écrasent sous les pas énergiques de la dame qui se tient à ses côtés.
- Suzie !!!
La fillette ne bouge pas, plongé dans ses rêves qui flottent en bulles d'airs dans sa tête remplie de rêves d'enfants.
Tu risques de souffrir petite fille, quand tu vas t’apercevoir que l'enfance, ce n'est pas pour toujours, que l'innocence est friable et qu'il faut avoir la tête dure si on veut devenir grand, plus tard, comme tes parents.
J'aimerais sortir ses mots de ma bouche fermée à clé, mais mes mains restent fixées sur la feuille de papier brunie par les âges.
Une grande dame se penche vers la petite fille, elle déploie son inquiétude sur l'innocent petit bout de fleur, possédant des yeux trop grand pour une si belle petite rose.
Pendant qu'elle se retourne du paysage illuminant, les rêves de la fillette s'écrasent sous les pas énergiques de la dame qui se tient à ses côtés.
Merci du gentil commentaire sur L'ombre des mots :-)
RépondreSupprimerQuelles nouvelles ? Tu te remets de ton — je suppose — merveilleux voyage au Chili ? Tu déprimes à l'approche de la rentrée ? Ça fait un bail ! ;-)
Yes ! T'as tout bon :) Sauf que pour moi, cette année ça va être cool car je rentre au lycée expérimental de St Nazaire => http://lycee.experimental.pagesperso-orange.fr/
RépondreSupprimerEt j'ai plutôt hâte en fait :D
Le Chili, c'était super, et je mettrais des photos sur ce blog !
Et toi, dis moi, comment ça va ?
RépondreSupprimerBen ça va, hein. Je me remets doucement d'un mois entier chez les bretons, dont 2 semaines de stage intensif de violon (6 heures de boulot par jour, quoi). Ceci dit, la musique bretonne, c'est cool.
RépondreSupprimerJe suis aussi assez impatiente pour le lycée, même si j'ai l'impression que de toute façon, tant que ce sera l'école, ce sera la répression.
Bonne rentrée alors. Hâte de voir tes photos chiliennes.
: )
RépondreSupprimerSi tu prends plusieurs articles je te fais un prix ;)
xx
Sans aucun frais de port le tee est à 5e, la robe 11e et les chaussures 12e
RépondreSupprimerEvidemment je te ferais un prix, surtout par apport au frais de port ! : )
dacc, écoute tiens moi au jus :) bisous!
RépondreSupprimerAlors, as tu vue avec ta mère ? : )
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